154 - VOILÀ L’ÉTÉ (Les Négresses Vertes)
Voilà l’été Voilà l’été Voilà l’été Voilà l’été Voilà l’été Voilà l’été
Voilà l’été, j’aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s’éclaircit
Et dans ma tête qui bourdonnent?
Les abeilles!
J’entends rugir les plaisirs de la vie
C’est le retour des amours qui nous chauffent
Les oreilles, il fait si chaud
Qu’il nous pousse des envies
C’est le bonheur rafraichi d’un cocktail
Les filles sont belles et les dieux sont ravis.
Enfin l’été Enfin l’été Enfin l’été Enfin l’été Enfin l’été Enfin l’été
Enfin l’été, mais y’a déjà plus d’argent
Le tout Paris se transforme en phobie
Le métro sue, tout devient purulent
Dans ses souliers, le passager abruti
A dix doigts d’pied qui s’expriment violemment
Y’a plus d’amis les voisins sont partis
L’été Paris c’est plutôt relaxant
On rêve de plage
Et la Seine est jolie.
Toujours l’été c’est pas du superflu
Il fait trop chaud, l’soleil m’abasourdit
Rillettes sous les bras j’avance dans la rue
J’pense à ces cons qui s’font chier dans l’midi
Tous ces torche-culs qui vont cuire dans leurs jus
Tous ces noyés, la mer quelle saloperie
Et sur les routes le danger ça vous tue
Vivement l’automne, je me sens tout aigri.
Toujours l’été Toujours l’été Toujours l’été
Toujours l’été Toujours l’été Toujours l’été
! Accélération !
Voilà l’été, j’aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s’éclaircit
Et dans ma tête qui bourdonnent?
Les abeilles!
J’entends rugir les plaisirs de la vie
Voilà l’été, j’aperçois le soleil
Les nuages filent et le ciel s’éclaircit
C’est le bonheur refraichi d’un cocktail
Les filles sont belles et les dieux sont ravis.
Voilà l’été Voilà l’été
Enfin l’été Enfin l’été
Toujours l’été Toujours l’été
Encore l’été Encore l’été